Anna Watson

Extrait d'un sujet sur Soif Obsessionnelle:

J’aime la chasse, la chasse humaine, j’aime les humains, j’aime leur sang. Je suis un vampire, ou plutôt une vampire, j’ai 16 ans depuis 76 ans, je suis une jeune vampire, une vampirette, prêt à tout pour avoir ce don elle à besoin. Une vampire énervante certes mais que tous le monde aime. J’ai 16 ans, je suis amoureuse, je l’aime à en mourir sauf que je ne peux mourir, je suis immortel. J’aime être un vampire, j’aime ma nature, j’aime mon pouvoir, je m’aime tout simplement. J’ai le teint pâl, les yeux qui virent au noir facilement, j’ai la peau froide, le sang glacé, je suis rapide, attrape-moi si tu peux. Voilà ce que j’aime dans ma nature, je suis différente des humains, je m’en accommode facilement, j’aime ne pas être comme eux, j’aime être une menace pour eux, être un mythe pour certain. J’aime le fait que les vampire existe tandis que les autres croient le contraire, j’en suis la preuve vivante. Ma beauté vous attire, mais je suis inaccessible, mon inaccessibilité vous rend fou. J’aime vous rendre fou !

Je suis au château depuis sa réouverture, il se passe des choses bizarre vous ne trouvez as ? Bizarre pour vous pauvres humains, mais naturel pour nous méchants ou gentils vampire. De quelle catégorie je fait partie à votre avis ? J’ai l’air toute gentille, toute inoffensive. Ne jamais se fier au apparence, je peux vous faire croire ce que je veux, je suis persuasive, je suis méchante et narcissique. Je suis énervante et fier de l’être. Cette année j’ai décide de reprendre mes études, après de longues année sans avoir mit les pieds aux lycée, mais vous n’y verrez que du feu, j’ai toujours la fraîcheur de mes 16 ans, la beauté de mes 16 ans, je suis une gamine autant chez les vampire que chez les humains. Pourquoi ? Parce que pour vous humains, je n’est que 16 malheureuse année, une petite gamine en somme, chez les vampire je n’est que 92 malheureuse année je suis toute jeune pour eux, la petite dernière, celle qui tout le monde aime.

Je suis dans ma chambre, la fenêtre grande ouverte, je viens d’allumer chaîne stéréo et j’écoute de la musique, un peu de tout, en passant du jazz à la pop et de la pop au classique. J’aime tout les genre. Je me repose un peu, je reviens d’avoir été chassé, j’ai eu une de mes meilleur proie, dans quelques heures, un hommes retrouveras sa femme étalé sur le sol vidée de son sang un morsure à la jugulaire, cette femme était partie faire une randonné malheureusement pour elle ce fut la dernière. J’ai fait sa proprement, la preuve, j’ai une chemise banche et il n’y a aucune trace de sang, comme si je n’était pas partie chasser. Je suis allongée sur mon lit, j’ouvre les yeux, non je n’ai pas dormit, je ne dort plus depuis 76 ans, je me lève et vas vers ma fenêtre, je respire alors une grande bouffée d’air, je vais sortir, je veux sortir, il faut que je sorte. Je vais éteindre ma stéréo ensuite je me dirige vers ma fenêtre grande ouverte, je saute alors, et je retombe dehors sur mes deux jambes, Il fait frais dehors, j’aime cette fraîcheur, respiré cet air si vivifiant pour le corps. Mes poumons se gonfle et se dégonfle à la réception de ce merveilleux air froid. Au moment ou je m’avance vers la forêt, un rayon lumineux apparaît, le soleil approche, j’aime pas, je ne suis pas fan du soleil. Il fit que je croise quelqu’un pour qu’il remarque que je relui de milles diamants, tampis j’ai envie de courir, sauter grimper sur ces nombreux arbres.

J’ai passé une heures dans cette forêt à me défouler et je n’est croisé personne, pas une âme qui vive, rien, avant de rentré dans le châteaux proprement dit, je décide d’aller dans le parc où se trouve un petit jardin, je serait encore à l’air frais comme ça. Il y a un banc tous près, mais je n’est pas envie de m’asseoir dessus, je préfère sentir l’herbe sous mon corps, l’herbe verte et fraîche, nous sommes en matinées après tout. Je m’assied alors dans l’herbes tous mes sens au aguets, mais il n’y a aucun bruit, il fait étrangement calme, peut être même trop calme. J’aime pas le calme, pour moi il faut du bruit pour qu’il y ait de la vie. Enfin bref, on y peut rien. Une fois assise dans l’herbe je pose mes mains un peu en arrière, je penche ma tête en arrière et ferme les yeux pour profiter du moment présent …