Skasia L. Lincoln
Nombre de messages : 46 Age : 29 Célébrité : Kristen Bell • Citation : Fais ce que tu veux de ce que tu es, je suis ce que je veux, je suis qui je veux. • Pixture : Date d'inscription : 14/02/2009
| Sujet: Skasia Lindsey Lincoln• Parce que je le vaut bien. Mar 17 Fév - 20:45 | |
| Lincoln ; Skasia Lindsey Age ; née à Cuba. feat Kristen Bell (c) unnamed Feeling Prépare ta plume, ton clavier NOM : Lincoln PRENOMS :Skasia Lindsey SURNOM(S) :{facultatif} Skaz', Zia. LIEU DE NAISSANCE :Cuba AGE :19 ans GROUPE :Acide Lemon (c) Cherry paper Racontage de life : on HISTOIRE :{minimum 25 lignes} CARACTÈRE :{minimum 15 lignes} Miroir, mon beau miroir PHYSIQUE :{minimum 1o lignes} Combien d'amoureux abrutis ont-ils écrit la perfection en décrivant l'être aimé ? Combien de personnes n'ont pas rêvé d'être en compagnie d'une créature de rêve ? Dans son esprit, Skasia n'est pas vraiment une super-héroïne. C'est pour ça qu'elle n'hésite pas a en mettre pleins les yeux avec son physique ! commeçons par le corps. Skasia, c'est une fille pas immensément grande, mais très élancée. Elle a des grandes jambes légèrement bronzées, avec des pieds plutôt petits mais elle s'en contente largement ; Elle ne trouve pas beau les grands pieds. Elle s'épile a la cire de sang froid et n'a pas peur de souffrir, et si bien sur ça lui fait mal, elle ne se met pas a crier pour un rien. il faut souffrir pour être belle, c'est une réalitée, pas juste des mots. Passons. Les hanches sont dévelloppées, sans pour autant lui faire de grosses fesses ni l'empêchant d'entrer dans un jean ; elles sont bien proportionnées, pile a la bonne taille pour son gabari. Skasia est fine, et elle n'est pas toujours en train de dire " aujourd'hui c'est régime". Au contraire, elle sait qu'elle est fine et en profite, elle sait qu'elle a de la chance, rien qu'uen regardant sa nounou qui vivait très bien avec son ventre comme trois Skasia. Elle ne se gêne pas pour manger, et n'a rien d'une anorexique, ni d'une boulimique. Elle est équilibrée. Sa poitrine, sans être deux ballons de foot, et assez importante, pas dérangeante, pas non plus trop discrète. Passons en suite a son visage. Une peau sans défauts, plutôt blanche malgrès le bronzage, lissa et douce grâce au soin nourrisant appliqué avec soin le matin et le soir. Un profil parfait, des yeux bleux, des cheveux blonds platine, coupés régulièrement et assez longs, avec une frange qui ne cache pas pour autant ses yeux. Un sourire a tout casser, avec des dents blanches lavée le matin. Vestimentairement elle fait plutôt simple et s'habille a la mode, sachant jouer avec les couleurs et les tissus pour se mettre en valeur. Elle se maquille presque tout les jours, cependant ça reste au simple coup de crayon noir sous les yeux et au gloss, rien de trop extravagant, de la discrètion, simplement. Par contre, elle change plutôt au niveau des ongles, toujours impeccablement soignés et entretenus. Elle aime se les vernir, mettre un peu de couleur dessus. pour elle, c'est important, aussi. On ne peut pas dire que sa soit la perfection féminine. mais physiquement, elle n'a pas trop de défauts. T'aime quoi dans la vie, à part ta petite personne ? {coche}
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Qui es-tu vraiment ? PRENOMS/SURNOMS : t0xiic sun-lem0n (ex mot-dit-net) AGE : ça va bientôt changer =D COMMENT AS-TU CONNU CE FORUM ? : projet commun =) PRÉSENCE : 5/7 EXEMPLE DE RP- Spoiler:
« Heureusement tu n’l’est pas . Ton cavalier est un véritable pro, c‘est évident »
Aha, aha, aha. Trop drôle mon vieux, tu t'améliores. Je me mettais même a lui parler en pensées, alors que ça ne m'étais jamais arrivé. On va dire que c'est parce que j'ai beaucoup de choses a lui balancer dans la figure mais que comme il un peu beaucoup de répondant, lui aussi, je n'ai pas le temps de tout lui dire. Je devais bien avouer que moi aussi j'étais étonnée, parce que William sortait du lot. D'ordinaire, les garçons draguent comme des porcs mais il suffit de deux trois répliques bien placées comme je savais le faire pour les calmer. Là, il continuait, tout en me charmant et en répondant sans hésiter a mes répliques, ce que je lui rendais bien. Malheureusement, je ne crains qu'il soit réellement un pro. A côté de moi, en tous cas, qui n’étais vraiment qu’une brelle se laissant entraîner bêtement par lui. Je savais qu’il avait raison, du moins s’il n’était pas un pro il savait très bien danser, et je prenais le risque de me laisser aller, pour ne pas perdre la route. Comme dans les sables mouvants, il est préférable de ne pas bouger et de se laisser entraîner plutôt que de gesticuler dans tous les sens. Bon, comparer William a un sable mouvant n’était sûrement pas la meilleure chose a faire, mais bon. Je haussais les sourcils et eu une moue désabusée.
-Continue de le dire, tu vas finir par y croire.
Il avait raffermit sa prise autour de ma taille et malheureusement je ne pouvais pas le changer, parce que c’était lui qui dirigeait, même si je ne le voulais pas. Quand j’abordai le sujet du « décodeur », je me calma un peu, parce que je ne voulais vraiment pas qu’il le prenne mal. Il parut surpris et angoissé, mais je ne sus pas si c’était à cause de mon sourire qui ne m’allait pas ou de mes paroles. Attentive, je scrutais ses traits, essayant de déceler quoi que ce soit pour cerner sa réaction. Je fus donc soulagée quand il me dit :
« Ah ? Tu as un problème avec un appareil ? Je te conseille Witchbrico, c’est un magasin assez pratique et tu trouve toujours ce que tu veux. »
Ce fut plus fort que moi, et je ris. La façon d’esquiver, le soulagement, aussi. J’avais vraiment eu une tension incroyable pendant ces deux secondes qui m’avaient paru une éternité que de voir l’enchaînement ainsi me soulagea. Il changea de sujet -si on peut dire ça comme ça puisque je ne m’étendis pas sur le sujet et lui non plus. Chose étrange, ça tomba sur mon décolleté, comme a notre première rencontre. Enfin, plutôt la première fois qu’on s’était parlés. Je me souvins qu’il était un peu pervers, et que ça, ça ne le différenciait pas beaucoup des autres hommes. Sauf deux ou trois que je connaissais, bien sur, mais seulement peu.
« ça sous entend que tu as l’habitude de te faire embrasser par le premier venu et que ça ne te gêne en rien ? Ou seulement que tu ne compte pas abréger mes souffrance ? »
J’eu un sourire en coin, et baissa les épaules, agacée. Je n’étais pas une allumeuse, et il le sous-entendait un peu trop fort a mon goût. J’hésitai, songeant lui écrabouiller les pieds une autre fois, puis je me rendis compte que ça ne servirait a rien, sinon d’avouer qu’il avait raison. Il avait dit ça pour rire, et pourtant c’était un jeu qui était instauré entre nous, et ça me plaisait autant que ça me faisait peur. Je ne connaissais pas ses limites.
-ça sous-entend que tu as l’habitude d’embrasser la première venue ? Oh non, je ne compte pas t’abréger tes souffrances, non ! Je suis un être sadique, détestable et profondément méchante. Le fille du diable, quoi !
Je mis une main sur sa bouche pour l’empêcher de m’embrasser. Je le regarda droit dans les yeux, avec un air sérieux et un sourire en coin diabolique comme je savais les faire. Ma mère avait raison, après tout. Elle aurait été satisfaite de m’entendre dire ça. Je déglutis en essayant de penser a autre chose. Dans le fond, elle m’aimait, a près tout. Sinon, elle ne m’aurait pas élevée, elle ne m’aurait pas gardée, elle ne m’aurait pas regardée…Je baissa ma main en reculant précautionneusement, histoire qu’il ne m’attaque pas. Il grimaça, mais je ne souriait plus vraiment.
« Depuis quand tu a peur de mes sarcasme au point de me coupé la parole ? C’est marrant je penser que tu ne craignez rien n’y personne ? Mais bon tout le monde ne peut pas être moi »
- C'est pas de ma faute si tu comprend rien. Dis-je en soupirant. Heureusement que tout le monde n’est pas toi, sinon je tue tout le monde sans hésiter !
Il m’avait lâché une main, mais je n’y prêtai pas grande attention, c’est quand je sentis ses doigts dans ma nuque que je m’affola. Mais alors totalement. Il était trop proche de moi, j’allais encore me prendre une claque. Je devais réagir. Je songeai a un coup de pied, mais ma robe ne me le permettait pas. J’étais coincée. Doucement je basculai vers l’arrière, tournant la tête automatiquement. J’aurais pu me mettre juste a fulminer comme une folle, a l’insulter discrètement s’il n’y avait pas eu de sifflets. Je sentais son souffle dans mon cou. Et pour la première fois depuis longtemps, j’eu envie de pleurer. Envie de pleurer pour mon humiliation, envie de pleurer parce qu’avant lui, je m’étais déjà retrouvée en position d’infériorité comme ça, et que dans les yeux de mon martyr, il n’y avait plus rien, rien qu’une douleur. Une infinie douleur a travers laquelle je voyais mon reflet. J’avais crié son appellation, la façon dont j’étais la seule a l’appeler, et elle avait retrouvé ses esprits. « maman ». Je m’en souvenais que trop bien. Si j’avais été paralysée comme là, a cet instant, je ne crains qu’elle m’aurait frappée. Mais c’est a cet instant là que je me suis rendue compte que dans le fond, elle m’aimait, malgré tout ce que je lui faisait supporter. Parce que sa honte, à elle, c’était moi, c’est moi et ça sera moi. Quoi que je fasse. William -mon bourreau-, s’approcha de mon oreille, et mon pouls s’accéléra. La peur, oui, mais pas que ça. La fascination, aussi. Il avait une telle habileté a me faire du mal que j’en étais sidérée. Je l’enfonçais, quand je lui parlais, mais j’avais énormément de respect pour lui, bien que je ne pourrais l’avouer.
« Je ne vais pas t’embrasser… Je n’est pas pour habitude de faire deux fois la même erreur...
Je n’ai pas compris le sens de sa phrase. Quoi qu’il en soit, j’eu l’impression que tout ce que je m’étais demandée a son sujet explosa. Parce que si j’avais du respect pour lui, mon bourreau venait d’avouer qu’il était…effroyablement commun. Comme les autres. Ses accents charmeurs, ça façon de parler, sa prétention, mes humiliations… un homme. Peut-être plus intelligent, mais un homme. Il me redressa, et si on pouvait tuer du regard, il aurait été explosé sur le sol, soigneusement démembré, os par os, tendon par tendons, au sol. Il recommença a danser tandis qu’étourdie, je tentais de reprendre mes repères tant bien que mal.
« Alors… tu préfère quand je suis gentil ou… quand je me conduis en « connard » ? Pour citer tes propres mots ! »
Le pire, c’est que William devait penser a présent que j’étais faible. Et c’était vrai. C’était mon plus gros défaut, que je camouflais sous des tonnes d’autres choses. J’avais beau être super courageuse, généreuse, hautaine et bagarreuse, j’étais faible. Ma personnalité était une carapace pleine de failles, abritant uniquement mon cœur. Mais les défenses pour l’abriter semblaient infaillibles, alors que pas du tout. Enfin bon. Je vais être franche, puisque c’est dans ma personnalité. J’aurais pus l’embrasser et juste ensuite l’humilier ; j’aurais pu fondre en larmes et lui dire que je le détestait ; j’aurais pu m’enfuir en courant ; j’aurais pu ne pas répondre et être muette pendant toute la soirée. J’aurais pu faire plein de choses d’autres. A la place, j’ai mal réagi. Mais alors, très mal. Voilà ce que je voulais dire, en tant que franchise : je ne me sous-estime pas vraiment. Je fais du quidditch, au poste de batteuse, et je suis assez musclée. J’ai donc lâché doucement une main William, en arrêtant de danser, et je lui ai dit clairement ce que j’avais sur le cœur.
-En fait…Je préfère quand tu n’existait pas a mes yeux. Parce que tu te crois supérieur a tous, tu te crois le meilleur. Tu veux devenir un caïd en faisant chier ton monde et te la jouer « celui qui s’en fou de tout et qui est un vrai tombeur ». Eh bah vas-y. Continue comme ça. Et plus tard tu finiras en sachant que t’as un gosse quelque part et que sa mère s’est faite rejetée de tous le monde et elle gère trop mal le gosse. Vas-y, bousille lui sa vie ! T’es vraiment trop con, Slayers. Y a pas que ton nombril et toi, sur Terre, tu sais ? Alors, je préfère quand tu me parles pas.
Sur ce, je lui ai balancé mon poing dans la figure, sans réfléchir, je me suis tournée et je suis partie. Je savais qu’on avait pas le droit de quitter la salle. Je savais que si je portais sans problème une robe, je me voyait mal en train de courir. J’aurais l’air d’une fugitive. Les larmes me montèrent aux yeux, parce que ce que je lui avait dis, ce gosse, c’était moi. Je n’avais plus beaucoup de respect pour lui, a présent. Il me faisait plutôt peur a la Lucian. Je me forçai a respirer calmement, histoire de ne pas pleurer Je clignai des yeux, troublée de lui avoir dit comme ça qui j’étais, et priant pour qu’il ne s’en aperçoive pas. Il y avait encore des gens dans le couloir, et je n’avait pas le droit de craquer ici. Ce que je voulais, c’était les bras d’un ami, pour pouvoir m’y reposer et m’y retrouver. Autant l’histoire des loups garous m’avait effrayé, mais là, j’étais totalement morte de trouille a l’idée de revoir William. S’il vous plaît, quelqu’un… Au secours ! CODE : AUTRE CHOSE ? :{facultatif}I love you =P | |
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